Bella Ciao
de Roberto Torelli & Marco Giusti
Le Forum social de Gênes, formé de plus de 1000 associations non gouvernementales, syndicats, mouvements et partis appartenant au monde entier, a manifesté contre le Sommet du G8, du 16 au 22 juillet 2001.
Bella Ciao est une reconstruction visuelle des conflits et de la violence, qui se sont soldés par la mort d’un jeune manifestant, Carlo Giuliani, le 20 juillet, et de l’irruption de la police dans les écoles Diaz, siège du Centre de presse et du dortoir du Forum, la nuit du 21 au 22 juillet.
Ce film est aussi le témoignage de la difficile naissance d’un mouvement international qui, de Porto Aiegre à Gênes, a tenté de définir sa propre physionomie et d’unir de multiples idées et intérêts, non sans d’inévitables contradictions.
Les journées de Gênes ont marqué la revanche du détective privé, c’est-à-dire des objectifs des opérateurs, photographes et cinéastes indépendants, qui ont multiplié les images au point de faire du G8 un événement de l’histoire de la communication.
Bella Ciao est une reconstruction visuelle des conflits et de la violence, qui se sont soldés par la mort d’un jeune manifestant, Carlo Giuliani, le 20 juillet, et de l’irruption de la police dans les écoles Diaz, siège du Centre de presse et du dortoir du Forum, la nuit du 21 au 22 juillet.
Ce film est aussi le témoignage de la difficile naissance d’un mouvement international qui, de Porto Aiegre à Gênes, a tenté de définir sa propre physionomie et d’unir de multiples idées et intérêts, non sans d’inévitables contradictions.
Les journées de Gênes ont marqué la revanche du détective privé, c’est-à-dire des objectifs des opérateurs, photographes et cinéastes indépendants, qui ont multiplié les images au point de faire du G8 un événement de l’histoire de la communication.