De l'histoire ancienne
de Orso Miret
Olivier, enseignant du secondaire, prépare un doctorat d'histoire sur les Résistants français fusillés pendant la Seconde guerre mondiale. Son meilleur ami, Guy, travaille dans une librairie et alimente en livres les recherches d'Oliver. Mais celui-ci veut surtout rencontrer le père de Guy qui, à la fin du conflit, a échappé par miracle à une exécution collective. Le jeune libraire tergiverse. La rencontre n'aura jamais lieu. La mort de l’ancien héros de la Résistance bouleverse le récit.
Fuyant son deuil, Guy est peu à peu rattrapé par une culpabilité imaginaire : il s'accuse bientôt d'avoir fait disparaître toute trace de son père en acceptant qu'il soit incinéré, il retourne dans sa famille, obsédé par l'idée de rendre hommage au défunt.
Parallèlement, sa soeur Danielle et son frère aîné Fabien sont confrontés au deuil pathologique de leur mère. Guy refuse de les entendre : de même qu'il veut prendre en charge ie souvenir de son père, il décide de s'occuper seul de sa mère. Lorsque celle-ci est hospitalisée à la suite d'un malaise, Guy rentre chez lui accablé par ses échecs successifs.
En proie à un délire croissant, il tente de se suicider en commettant un attentat absurde contre une librairie d'extrême droite.
Fuyant son deuil, Guy est peu à peu rattrapé par une culpabilité imaginaire : il s'accuse bientôt d'avoir fait disparaître toute trace de son père en acceptant qu'il soit incinéré, il retourne dans sa famille, obsédé par l'idée de rendre hommage au défunt.
Parallèlement, sa soeur Danielle et son frère aîné Fabien sont confrontés au deuil pathologique de leur mère. Guy refuse de les entendre : de même qu'il veut prendre en charge ie souvenir de son père, il décide de s'occuper seul de sa mère. Lorsque celle-ci est hospitalisée à la suite d'un malaise, Guy rentre chez lui accablé par ses échecs successifs.
En proie à un délire croissant, il tente de se suicider en commettant un attentat absurde contre une librairie d'extrême droite.