Don’t Call Me Frankie
de Thomas A. Fucci
Jusqu'à une semaine auparavant, trois pôles donnaient un sens à la vie de Frank Connally : sa femme, ses deux enfants et ses 11.683 disques. Sa femme, fâchée d'être venue la deuxième, emmène les enfants, vide le compte en banque, vend les disques, laissant Frank seul, sans famille, et, pire que tout, sans musique.
Frank prend une chambre dans un hôtel de passe des bas quartiers de la tulle. Tout ce à quoi il aspire est d'y écouter quelques unes de ses musiques préférées et puis, tranquillement de se mettre une balle dans la tête.
Anonymement bien sûr, sans déranger personne et sans que personne ne le dérange. Un plan assez simple? Et bien non.
Pendant que Frank essaie patiemment de mettre fin à ses jours, par un acte de Dieu ou par la présence d'étranges personnages emplissant l'hôtel de leurs problèmes bizarres, tout et tous l'en empêchent.
Frank pensait que les dernières vingt-quatre heures étaient un enfer. Il ne se doutait pas de ce que les prochaines vingt-quatre heures lui réservaient.
Frank prend une chambre dans un hôtel de passe des bas quartiers de la tulle. Tout ce à quoi il aspire est d'y écouter quelques unes de ses musiques préférées et puis, tranquillement de se mettre une balle dans la tête.
Anonymement bien sûr, sans déranger personne et sans que personne ne le dérange. Un plan assez simple? Et bien non.
Pendant que Frank essaie patiemment de mettre fin à ses jours, par un acte de Dieu ou par la présence d'étranges personnages emplissant l'hôtel de leurs problèmes bizarres, tout et tous l'en empêchent.
Frank pensait que les dernières vingt-quatre heures étaient un enfer. Il ne se doutait pas de ce que les prochaines vingt-quatre heures lui réservaient.